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1. PLANIFIER, TOUJOURS PLANIFIER
Définir clairement les objectifs stratégiques
Evaluer les autres moyens d'y parvenir
Décider comment structurer et gérer au mieux l'organisation de l'alliance
2. ACCORDER SA CONFIANCE
EN FONCTION DE SES INTERETS
Faire connaître les objectifs de l'alliance à chaque partie de façon claire et sans équivoque possible
Identifier et assembler le maximum d'information possible sur chacun des partenaires à alliance
Entretenir des relations basées sur la confiance
3. ANTICIPER LES CONFLITS
Identifier les zones de conflits potentielles
Segmenter les apports à l'alliance
Pour la segmentation verticale, l’apport est un résultat et non un moyen
Prévoir un mécanisme de dissolution destiné à décourager les comportements déviants
4. DETERMINER LE LEADER
Comparer le niveau de ressources apportés par chacune des parties
Identifier un preneur de décision ou une structure de contrôle commun
Choisir le manager pour ses compétences d'encadrements
Lier sa récompense à la conduite du projet
5. ETRE FLEXIBLE
Modifier dès que cela est possible et nécessite la répartition du contrôle de l'alliance
Donner priorité à ses intérêts
6. S'ACCOMMODER DES DIFFERENCES CULTURELLES
Connaître les styles de management face auxquels on se trouve
Développer une ouverture d'esprit culturel destiné à favoriser un climat de confiance
7.
ORCHESTRER
LES TRANSFERTS DE TECHNOLOGIES
Observer les différents stades de développement de technologie commune
Intensifier les rapports " alliance/maison-mère " dès que le projet de développement de technologie voit le jour.
8. TIRER LES LECONS
DES FORCES DE SON PARTENAIRE
Sélectionner les partenaires à l'alliance en fonction de l'accès aux informations interne de celui-ci.
Instaurer des pratiques destinées à favoriser " l'espionnage " des technologiques de gestion de partenaires => intelligence économique.
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