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Les
instituts financières peuvent financer la reprise d'entreprise saine dont la pérennité
est menacée par le retrait prévisible des dirigeants. Cet achat peut se faire
par l'association directe ou une O.P.A. Les
entreprises financières peuvent intervenir si l'acheteur ne dispose pas de
formes nécessaires. Des procédures spécifiques ont été mises en place pour
adapter les instruments traditionnels du crédit à droit d'usage particulier. C'est
le cas des junk-banks ("obligation de pacotille"). C'est une
obligation vendue en base pour acheter une entreprise. Une fois l'entreprise
achetée, elle est vendue morceaux par morceaux. Le prédateur et ses
obligataires attendent une plus-value très importante de revente de la proie
"par épargnant". La plus ou moins value permet de rembourser les
obligations comme le risque est élevé, le taux servi aussi. Les autres procédures: c'est le L.B.O. (Leberage Bery Out): l'achat par levier. L'acheteur constitue un holding (une société de détention) avec un capital faible. Le holding emprunte à une banque avec levier le plus élevé possible, une somme nécessaire pour obtenir le contrôle de la proie. Ainsi, 10 personnes constituent un holding avec 100.000€ chacune. Le capital du holding est donc de 1millions d'euros. La société emprunte 5 millions d'euros pour acheter les actions de la proie et pour la contrôler. Quand les
repreneurs sont salariés de l'entreprise, il s'agit d'une L.M.B.O. (Leberage
Management Bery Out). Le
rachat d'entreprises pour salariés R.E.S. en France: une entreprise présente
un intérêt social et permet parfois d'éviter la disparition de l'entreprise.
Souvent, dans ce type d'opération, les titres achetés sont fournis en
nantissement des emprunts; nantissement qui fait que le prêteur reçoit en gage
des titres de propriété des sociétés engagée.
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